Autisme France
De haut en bas :
Hervé Di Rosa, Speedy Graphito, Philippe Cognée, Philippe Pasqua


Communiqué de presse

[Mercredi 27 mars]

"Un Puzzle pour l'Autisme"
Vente au profit d'Autisme France
Mercredi 24 avril à 20h30
Espace Tajan

Autisme France


Présentation des Artistes et de leurs oeuvres par Elisabeth Petibon

Jef Aérosol
Né en 1957, ce pochoiriste français fait partie de la première vague du Street Art. Il a peint son premier mur en 1982 à Tours. Ses pochoirs en noirs et blancs sont comme des ombres vives.  Il crée aussi bien des portraits de personnalités que des portraits d’anonymes de la rue, toujours soulignés de sa fameuse et mystérieuse flèche rouge, seconde signature et « marque de fabrique » de l’artiste. Il créa sa plus grande œuvre de 350 m2 près de Beaubourg Place Stravinsky à Paris.

Albiolo  nom de l’œuvre : « Horizons Singuliers »
Son art, orienté vers la couleur, imprégné d’une vie passée dans les régions présahariennes et centrales de l’Afrique, présente en formats monumentaux la vision d’un monde minéral, cosmique et légendaire, s’organisant en cycles.
Depuis treize ans, elle développe une nouvelle forme de création, procédant
de la peinture et de la gravure sur micro format transparent, et nommée « diachromies® ». Elle crée les « concerts diachromiques® », art pluridisciplinaire, en projetant ces œuvres sur écran géant. Du grand spectacle...

Gilles Balmet : nom de l’œuvre « Silver Mountains »
Né en 1979, peintre, dessinateur, vidéaste et photographe, diplomé de l’E.S.A de Grenoble en 2003. Entre abstraction et figuration, son dernier  travail est est centré  sur des œuvres papier et sur toiles, et met en question la notion de paysage, la place du regardeur dans la lecture des images. Il a été entre autre un des nominés à la Fondation Ricard. Il est défendu par la galerie Dominique Fiat.

Rebecca Bournigault  «  Les vanités »
Née en 1970, vidéaste, photographe, peintre, son intérêt se porte sur les sciences métaphysiques, la psychanalyse et surtout  sur la catharsis qui purge les passions grâce aux contes enfantins. Elle fit partie des nominés de la session 2000/2001 du prix Marcel Duchamp. Comme elle dit : Les vanités pour moi, c’est  un peu ma Maryline ! Elles ont en elles  un aspect quasi-ludique ! Elle est représentée par la galerie Dominique Fiat.

Céleste Boursier Mougenot
Né en 1961, vit et travaille à Sète. Nominé du Prix Marcel Duchamp en 2010.
Ancien compositeur de la compagnie « Side one Posthume Théâtre » de l’auteur et metteur en scène Pascal Rambert. Depuis 1994, il va vers les arts plastiques en y intégrant la musique, « From here to ear »,  œuvre connue. Cette pièce carbonisée s’inscrit dans la lignée de cette première expérience avec deux éléments naturels : le feu et le bois et évoque, d’une certaine manière, le crépitement d’un feu de bois. Il est défendu par la galerie Xippas.

Miguel Chevalier  « Pixel Op’art »
Artiste français né en 1959 au Mexique, il est l’un des pionniers de l’art numérique et virtuel. Il utilise l’informatique. Cette œuvre est composée d’une trame de gros pixels découpée au laser dans une plaque de plexiglas transparente qui vient en superposition. Les pixels, éléments de base de l’informatique composent ici une image abstraite dont il se dégage l’illusion d’une demi-sphère en relief. Ce n’est pas sans rappeler l’art cinétique des années 70.

Philippe Cognée  « Maison rouge à Mexico»
Né en 1957, à partir des années 90 il établit une nouvelle technique. Il
Photographie, reproduit ses photos à la peinture, à l’encaustique sur bois, ou sur toile ; il donne un effet flou ou de destruction en mettant dessus un film plastique qu’il fait fondre avec un fer à repasser. Il met en avant l’art urbain. Il est représenté par la galerie Daniel Templon.

Jean Daviot    « Rebond de lune »
Né en 1962, il se passionne pour le langage, les mots, les sons, les signes et les lumières. Il a commencé par des films, des vidéos. Il mène un travail sur le signe, l’écrit, le symbole, les gestes des rituels. La lumière est devenue pour lui un sujet important.

Gaël Davrinche  « Série memento mori, Anémone blanche »
Né en 1971. Sa série « Momenti Mori » traite d’une ère du mouvement qui se veut plurielle. D’abord un mouvement purement rétinien, puis celui du passage de la mort vers la renaissance et enfin par celui la transmission comme procédé. 
Il est représenté par la galerie Magda Danysz sur Paris et Shangaï.

Hervé di Rosa
Né en 1959 à Sète, il vit entre Séville et Paris lorsqu’il n’est pas en Afrique.
Il fait partie du nouveau groupe « La figuration libre » en 1981. Ce sont des peintures simples très colorées et illustratives, liées à la bande dessinée. Il crée toujours de nouvelles œuvres inspirées par les différents pays qu’il traverse. Il est directeur du MIAM à Sète. Il est défendu par la galerie Louis Carré & Cie à Paris.

Joël Ducorroy  «  Morceaux d’un tableau »
Né en 1955, Artiste plaquetitien, nom qu’un ami de Raymond Hains, Jean Claude Lange lui a suggéré.  Les plaques désignent chacune une partie de l’objet global ; mises bout à bout, elles recomposent la forme de cet objet. On le qualifie d’humoriste néo-conceptuel. Il est représenté par la galerie Baudoin Lebon à Paris.

Ender « Maître en pièce »
Né en 1973, il a vécu 25 ans dans le quartier de Belleville à Paris, haut lieu du street art dans les années 80. Aussi, ces murs marqueront ce petit garçon qu’il était. Il est également comédien professionnel. Ses pochoirs sont composés de 3 à 6 layers, matrices utilisées pour chaque couleur, les couleurs sont peintes en couches successives, une  longue  mise en œuvre. Ses thèmes sont les Mariolles, les Gargouilles et les réinterprétations des grands classiques comme Léonard de Vinci.

FAZ   « Paix »
Son nouveau travail, de plus en plus zen et épuré, se fonde sur les énergies qui nous entourent. Ses sculptures évoquent l’eau, la matière, le végétal les sédiments stratifiés, la lumière, l’air et le feu.  Elle capte le temps, le mouvement, le sens réel ou caché des choses, tout en rendant hommage à la vie.
Le  bonheur de vivre en est sa signature.
Elle est représentée par la galerie de Land Art Blueland.

Damien Paul Gal « Vice Versa »
Né en 1976, c’est un artiste Plasticien-performer, postindustriel et photographe, autodidacte, d’origine bretonne, il est basé sur Bruxelles.
Il utilise des matériaux de récupération auxquels il redonne une seconde vie. Il travaille une nouvelle technique de thermoformage du plastique, matière présente dans notre vie de tous les jours. Ses séries sont basées sur le réinvestissement de la technologie et de l’underground.

Ginero « Urban Conscience »
Né en 1970 à Bruxelles, autodidacte il se fait remarquer par ses nombreux collages sur toiles. Il s’adonne ensuite à la peinture à l’huile et à la peinture acrylique à base de terre glaise pour se diriger vers un style plus abstrait.
Il est représenrté par deux galeries à Bruxelles Ginero Design Store et Who’s Gallery.

Isabelle Giovacchini  « Mehr Licht »
Née en 1982. Elle appose des feuilles vierges de papier argentique noir et blanc contre le négatif sur papier d’une photo de nuages. Elle expose ensuite cet ensemble  maintenu par une plaque de verre à la lumière pendant plusieurs heures. Le papier photographique noir et blanc à la particularité de se colorer au contact prolongé de la lumière en une teinte rose violacée, colorée mais fanée.
« Mehr Licht ! Mehr Licht ! » (« Plus de lumière ! plus de lumière ! ») : les dernières paroles de Goethe dites sur son lit de mort.

Speedy Graphito  “Art is a Joke”
Né en 1961, en 1983 il commence à peindre dans les rues et débute en tant que maquettiste. Ces premiers personnages sont visiblement inspirés de la culture maya. Il est dans la prise de risque, son travail concerne le monde qui nous entoure, celui de la consommation, du jeu électronique, de la publicité. Il est fidèle à la bande dessinée, l’Amérique des années 50, au manga qu’il maîtrise à la perfection.

Mylène Guermont   « Tu es un autre monde »
Née en 1981, elle est ingénieure. Elle travaille surtout des bétons spéciaux qu’elle transforme en pièces sensibles. Ses pièces de quelques grammes à plusieurs tonnes en Béton Poly sensoriel réagissent selon votre champ magnétique lors du toucher. Cette œuvre est différente du reste de son travail, mais en fait néanmoins partie. Elle fait référence à un autre monde à l’intérieur de notre monde.

Jérôme Gulon pseudo Moreje  « Puzzle-note de musique » : fragments assemblés en ligne mélodique »
Le puzzle a en commun la notion de mettre en jeu le lien qui rassemble la partie et le tout, l’unité et le nombre, le singulier et la cohésion de l’ensemble. La pièce de mosaïque en bleu se veut l’exigence d’un regard confiant, attentif et généreux.

Markus Hansen « Tographic drawing of a body lying under a blanket »
Né en 1963, d’origine allemande, il s’est installé à Paris après avoir vécu en Angleterre. Il expérimente sur cette matière première donnée : le feu.  Un travail du brûlé qu’il improvise autour de cette pièce de puzzle en chêne, en écho, au grain du bois, apaisant et doux à la fois. Ses travaux sont variés.

Céleste Java  «  Worried Mind »
Artiste bretonne, dans ce pays de légendes et de rêves, elle a gardé ce goût du mystère. Elle participe à l’évènement  de Crimes of Minds actuellement sur les murs de Brest. Son univers sensoriel est peuplé d’allégories, figures féminines presque désincarnées, miroirs de nos sentiments, s’immisçant dans les méandres de nos émotions les plus archaïques. Elle a un fils de quinze ans autiste.

Marc Johnson   « Pour une cathédrale en devenir »
Né en 1986, il a une double formation en architecture et à l’école des Beaux Arts de Paris et d’Hunter College of Arts à NY . Il est  fasciné par la géométrie et les équations. Il présente un projet de pavement, de place publique devant une cathédrale. Le bois est sillonné  par une découpe au laser faisant suite au motif dessiné à la main et entré dans l’ordinateur.

Harry Kampianne  « Arbres de Vie »
Il écrit et est artiste.  Il a étudié à l’atelier des Beaux-Arts de Glacière, Paris 13ème de 2002 à 2006 et s’intéresse à l’architecture. Avec cette pièce, il veut nous démontrer qu’en chacun de nous il y a un arbre de vie, parfois sombre mais toujours irrigué de lumière. C’est à partir de cette dualité, entre ombre et lumière, que le cœur commence à s’ouvrir.

Kasper  « Interneurone »
Sculpteur-peintre né en 1962 à Paris. Il pratique un travail  de grande envergure, comme on n’en voit plus chez nos contemporains. Il sculpte à grande échelle aussi bien des thèmes  mythologiques, littéraires, qu’équestres, maritimes et animaliers.
Après des recherches sur l’autisme, il présente creusé dans le bois, un neurone avec un œuf, thème privilégié aussi de l’artiste.

Sébastien Kito   « dépuzzlage »
Né en 1963 à Paris, sculpteur Franco-japonais par son père Akira Kito. Il a ce goût pour une esthétique simple et dépouillée.  En 1983, il devient l’assistant de Raymond Hains. Son idée pour cette pièce est l’emboîtement, tout comme le puzzle sous forme ludique. Ses œuvres sont épurées, aériennes et articulées. Il s’interroge sur le vide et le plein. Avec rien, il peut faire quelque chose de grandiose.

Kouka  « L’arbre de vie »
Son arborisation présente la coupe longitudinale du cervelet apparenté à l’autisme. Il poursuit sa recherche sur l’Essence de l’homme. Selon une nécessité. Son œuvre est un constant rappel à la terre Mère, l’Afrique. Ses 77 guerriers Bantous sur un immeuble de bureau abandonné, près de République sont sa première empreinte urbaine singulière. Il est à la New Heart City Gallery Paris.

Kosta Kulundzic  « San Sébastien »
Né à Paris en 1972, d’origine serbe. Petit-fils d’un pope orthodoxe et venant d’un pays déchiré par les guerres religieuses, il a été bercé par le dogme chrétien et le poids du martyr. Il se passionne pour les évangiles dans lesquels il installe ses propres héros.
Il est défendu par la galerie Magda Danysz Paris, Shangaï.

Thierry Lagalla  « autosaucissfaction et compagnie»
Né en 1966, vit et travaille à Nice, artiste plasticien, folklorique, intellectuel et
populaire. Ses jeux de langage sont sans appel. D’audacieuses connexions en associations faussement incongrues et réellement engagées. Il se risque dans des mises en scènes plus drôles et stupéfiantes les unes que les autres. Il est défendu par Bertrand Baraudou avec ses deux galeries une à Paris et l’autre à Nice.

Fabrice Langlade « Cangue »
Artiste né en 1964, dans cette œuvre, il a détourné l’objet chinois qui inspira à l’Europe ces objets coercitifs que sont les piloris. Le sujet est entravé dans ses mouvements, à la suite d’une décision de justice, par le cou et les poignets. Condamné, il est ainsi exposé publiquement, dans l’impossibilité évidente de pouvoir communiquer.

Artus de Lavilléon « Le courage de ne rien être, personne ne l’a jamais »
Né en 1970, son travail porte aussi bien sur le témoignage brutal du vécu que sur celui de l’archivage du quotidien. Il est surtout connu pour avoir fondé le mouvement Art Posthume . Là il s’agit d’une image de film noir détournée, agrémentée d’une citation tirée d’une autre production hollywoodienne. Il est défendu par la galerie de Patricia Dorfmann.

Laurence de Leersnyder  « Le radeau de pierre »
Née en 1979 à Clamart France. Elle est passée entre autre par la Villa Arson.
Elle a réalisé autour de la pièce de puzzle un coffrage qu’elle a rempli de terreau. Elle a donné forme à cette terre puis en a pris l’empreinte avec du plâtre.
Une fois retournée, l’empreinte (le négatif) de cette forme en terre devient la sculpture, paysage, pierre chinoise, roche, un microcosme ou un monde. Elle est représentée par la galerie Laurent Mueller à Paris.

Marie Lepetit    « De constellations en constellations »
Née en 1959, elle vit et travaille à Paris. Ses œuvres présentent les lueurs stellaires par des points disposés en constellations géométriques qui tendent à l’aléatoire. Ce ciel étoilé renforce l’impression d’accéder à un territoire.
Elle est représentée par la galerie Briobox Paris.

Iris Levasseur
Née en1972, pour elle la peinture se glisse dans les  mémoires et s’y ancre : c’est un médium où apparaît l’histoire, elle lie le passé au futur. Elle se nourrit de son environnement extérieur. Elle a participé aux expositions abordant le renouveau de la peinture figurative an France. Elle est défendue par la galerie Odile Ouizeman Paris et la galerie Iragui  à Moscou.

Liliwenn « Circles of life »  (Cercles de vie)
Ce titre est en lien avec les mécanismes et les planètes représentant les pensées, le mode cognitif, le temps, la vie. Elle a mis en place dans les rues de Brest un projet d’envergure « un musée à ciel ouvert »avec 26 artistes internationaux dans le cadre de « Crimes of Minds ». Nous avons pu le voir en début d’année dans Thalassa sur France 3 spécial Bretagne.

Ludo speudo Nature’s Revenge
Né en 1979, il a étudié l’art à Milan. Il traduit par des collages  gigantesques sur les murs des grandes villes une nature mutante, des créatures hybrides utilisant son vert-pomme dans l’idée de provoquer. Il s’adresse à tous, avec une volonté de rester anonyme. Il nous donne à réfléchir : Au final, qui contrôle qui ?  Sa dernière œuvre se trouve en face du 71 rue de la Fontaine au Roi, à Paris.

Jérôme Mesnager « Le Corps Blanc »
Né en 1961, nous rencontrons partout ce personnage dans différents pays, sur les murs, sur les pierres, sur les voitures, seul ou accompagné, dans des scènes différentes, il ne nous lâche pas, bref ! Il est difficile de lui échapper, mais il est tellement sympathique. Dès l’âge de 14 ans, l’artiste passe le concours de l’Ecole BOULLE. Il rencontre aussi, l’un des plus grands artistes de l’époque notamment Ernest Pignon-Ernest qui l’inspire.

Dominique Muhlem « Marilyn Mondrian »
Il est en 1952. Peintre français du nouveau Pop Art. Son travail est un art génétiquement modifié en ayant pris les ADN du Pop-Art, de l’Hyperréalisme et de l’Appropriation-Art et de quelques autres, puis en lui donnant une troisième dimension de profondeur pour apporter du relief.

Marc Nucera « Animal non domestiqué »
Né en 1966, ce paysagiste et  sculpteur d’arbre comme on n’en trouve pratiquement plus, bien connu en Provence, taille directement des œuvres monumentales dans les troncs d’arbres morts trouvés. Ses sculptures sont animées par des traces, des trames, des motifs gravés dans le bois.  Avec sa tronçonneuse, il nous livre des sculptures grandioses, d’une douceur sans pareil, c’est magique.

Mr One Teas « Amy Winchouse »
Né à Nice en 1984, alias Anthony Alberti, il est un artiste du street art et du Graffiti, surtout  reconnu sur Monaco. Il fit parler de lui, lorsqu’en juillet 2010, il réalisa un portrait du futur couple princier. Il aime faire passer les codes de cette société actuelle de mauvaise consommation, aussi bien sur les murs, sur ses toiles que sur ses affiches. Il présenta son travail au Grimaldi Forum à Monaco lors de l’été 2011.

Fernand d’Onofrio  « Contre bruit ». 
Né en 1963, peintre franco-italien autodidacte de l’abstraction lyrique,  cette œuvre est un travail de dessin avec projection de bitume liquide. Son expression très sensuelle, ce relief mouvant fait suite à son exploration frénétique de l’être, faisant fi des classements académiques. Actuellement, il exploite  sa quête intérieure. Il est représentée par la galerie Nichido sur Paris.

Philippe Pasqua
Né à Grasse en 1965, c’est un  artiste autodidacte international, portraitiste avant tout. L’être humain  est sa source d’inspiration première. Il cherche une vraie vie dans sa peinture, une force,  une émotion, au travers de ses portraits d’aveugles, de trisomiques, de transsexuels, de femmes et d’enfants. Ses techniques sont multiples : huile sur toile, dessins, sculptures en bronze ou en marbre, puis tatouage comme celui-ci. Il est au The Storage à Saint Ouen l’Aumône 95.

Daniela Prost « Regard »
C’est une artiste plasticienne, de la  conception à la direction scénique. En 1995, elle quitte Mexico. Elle s’éloigne  volontairement de sa mère comédienne et de son père peintre. Elle s’installe à Paris où elle étudie les Arts Plastiques et se crée sa propre identité. Elle pratique  la technique du gesso. Dans son puzzle, cet œil est un symbole au monde de l’autisme : le regard vers l’autre. Elle est défendue par la galerie Enciso de Mexico.

Emmanuel Régent « La fille et l’autisme »
Né à Nice, il vit entre Paris et Villefranche sur Mer. Il a été lauréat du prix découverte des Amis du Palais de Tokyo en 2009.Il dessine au feutre noir des files d’attente, entre autre, de personnages disciplinés extrêmement contrastés, peut-être devant un musée, un cinéma ou un théâtre, mais qui pourraient aussi faire référence aux plus sombres heures de l’histoire. Il est à la galerie Bertrand Baraudou Paris et Nice, chez Caroline Smulders/I love my Job et Analix Forever Genève.

Lionel Sabatté  « le chant brûlé »
Né à Toulouse en 1975, il est chasseur-cueilleur de traces afin de réunir le matériau de son œuvre. Il s’intéresse au vivant et à sa régénération perpétuelle. Il crée des œuvres aussi bien avec les poussières récupérées dans le métro qu’ avec des pièces de monnaie pour la création de son crocodile exposé au jardin des Plantes lors du parcours off de Fiac 2012  Il a reçu le prix Yishu- Pékin en 2011.Il est défendu par la galeriste Patricia Dorfmann, Paris.

Vincent Scali
Né en 1956 Il est fortement influencé par Giuseppe Penone et Markus Raetz de l’époque 90. Il travaille aussi bien avec de la mousse, du papier dessin, des impressions numérisées. Il dépouille ses œuvres qui sont des exercices spirituels.
A l’été 2012, il a participé au festival international d’art contemporain Apilles Provence A-PART.

Lionel Scoccimaro
Sculpteur il est né en 1973 à Marseille où il vit et travaille simultanément  avec les artisans et les différents corps de métiers en tous genres.
Il ennoblit tous ses matériaux  grâce à la technologie et au savoir-faire d’artisans de haut niveau. Pour lui, c’est un vecteur de plaisirs incontournables
Il est représentée par la galerie d’Olivier Robert Paris.

Benjamin Spark  pseudo SPaRK  « Not now »
Né en 1969, peintre et plasticien Franco-belge, il vit et travaille à Bruxelles.
Il peint des personnages de BD, la ligue des justiciers entre autre, des  caricatures, de la publicité ou des symboles ancestraux de l’humanité. SPaRK 
Représente le « Street POP » bruxellois, synthèse de la pop américaine et de la culture de l’art urbain européen. Il est dans la galerie Bertheas- Les tournesols Saint Etienne – Vichy France.

Jeanne Susplugas
Née en 1974 à Montpellier, elle utilise un corpus protéiforme de médiums  Son travail se singularise par les explorations liées à nos aliénations, notre solitude, à nos addictions. Ses recherches sont basées sur le médicament avec sa consommation de masse, sa contrefaçon, l’industrie pharmaceutique, les maux de la société. Elle est représentée par Valérie Bach,Bruxelles ; Rewind/NY ; Mizuma Art Gallery Tokyo.

Wilson Trouvé « Boundaries »
Né en 1980 vit et travaille à Marseille. Il fait également un travail d’écriture et de poésie. Il tend les lignes de force jusqu’au bout de la rupture. Il aime brouiller les pistes et donner consistance à la transparence. Nous avons pu suivre son   art dans les Chapelles en Bretagne en 2012. Il sera en résidence au Domaine de Kerguéhennec en 2013. Il est défendu par la galeriste ALMA à Montpellier.

Marko Velk « Vela »
Né en 1969, artiste Franco/serbe, vit désormais à NY expose à Paris et à NY
Il exerce avec une grande habilité le dessin au pastel sec et au fusain, mythes et actualités se mêlent dans une représentation de figures ambiguës. Il exprime instinctivement le dialogue du noir et blanc, détenteur de la vie à travers la lumière. Il est dans la galerie d’Eric Mircher, Paris.

Vuk Vidor « Mind Lock
Né en 1965, artiste Franco serbe, vit et travaille à Paris. Peintre et sculpteur, ses sujets d’exploration sont souvent liés à la création et la destruction des mythes  anciens ou contemporains et de leur signification réelle ou suggérée.
Il est défendu par la galerie Magda Danysz.

 

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